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Aucun sujet tabou entre nous…

Alexandra… mais tout le monde m’appelle Alex !

Voici les sujets pour lesquels je pourrai témoigner s’ils vous intéressent. Nous les compléterons d’avis d’experts et idéalement d’un second avis de témoin que vous serez peut-être.

Si votre question ne porte sur aucun sujet ci-dessous, j’irai vous chercher des témoins et professionnels qui pourront y répondre.

Evidemment, ce récit est mon interprétation de ce qui est arrivé. Les personnes mentionnées peuvent en avoir une toute autre vision 🙂

Je suis fondamentalement persuadée que “tout ce qui arrive est bien… ou peut le devenir”. Tous les déboires de mon enfance ont fait la femme et la mère que je suis aujourd’hui.

Vivre avec la maladie d’un proche

A 7 ans, j’ai compris que ma mère pouvait mourir de son épilepsie. J’ai compris qu’avoir peur ne servirait à rien. Il fallait vivre l’instant présent et regarder devant.

Elle est toujours des nôtres et saute dans des avions qui l’emmènent au quatre coin du monde dès que sa santé le lui permet.

Cet apprentissage me permet de vivre aujourd’hui sereinement le diabète de mon époux.

Détester sa sœur aînée

Jusqu’à mes 24 ans, il nous était impossible de rester sous le même toit plus de 2 heures sans que des cris et crises n’explosent.

A la naissance de notre petite sœur, alors que je venais d’avoir 2 ans, elle a mal interprété des décisions de nos parents. Jusqu’à mes 20 ans, elle n’a eu de cesse de me rabaisser pour compenser ce qu’elle considérait être une injustice vis à vis de notre sœur.

Finalement, ces années d’affrontement sont le ciment de notre relation et représentent bien peu de chose par rapport notre actuelle complicité. Elle fait dorénavant partie de cette poignée de personnes de confiance que j’appelle quand je suis en difficulté et avec qui je partage mes petits secrets 🙂

Divorce et familles recomposées

Mes parentes ont divorcé. Mon père a refait sa vie plusieurs fois.

Cela a permis d’agrandir ma fratrie de deux frères (qui n’ont pas la même mère que moi) avec qui je m’entends parfaitement bien.

Inévitablement, j’ai connu la gêne de nos familles, les commentaires de ceux qui pensent détenir la vérité ainsi que le sentiment d’injustice face à la vie de mes frères qui avaient la chance de vivre avec mon père.

Sentiment d’abandon

J’ai régulièrement été séparée de ma mère pendant ses hospitalisations ou les gardes de mon père.

Le jour de mon hospitalisation pour mon appendicite, j’avais 7 ans et j’étais morte de trouille évidemment. La veille de mon opération, avant de retourner à la maison rejoindre mes sœurs, ma mère m’a rassurée en me disant “à demain”. Elle n’est jamais revenue de toute mon hospitalisation. Entre temps, elle a eu une crise d’épilepsie et a été transportée dans un autre hôpital. Je me souviens pas que ma grand mère qui venait me voir tous les après midi me l’ait jamais expliqué.

Je suis devenue une maman hyper fusionnelle. Ce sont mes filles (et de nombreuses séances de psychanalyse !!) qui m’apprennent dorénavant à lâcher prise.

Les premiers départs en colonie de ma fille aînée ont été épiques tellement nous avons pleuré (un mois à l’avance la première fois !). Maintenant, ce sont des formalités pour toutes les deux. Nous pourrons vous transmettre les astuces que nous avons toutes les deux mises en place.

Dyslexie

Je suis dyslexique, ce qui était méconnu à l’époque ! J’ai donc été considérée pendant des années comme idiote. Apprendre à lire et à écrire a été une corvée. Aujourd’hui encore, classer des documents par ordre chronologique est compliqué. Je ne mémorise aucun nom, ni date, ni acronyme : je vous laisse imaginer mon calvaire pour passer le BAC économique… De nos jours, il m’arrive de “perdre” les prénoms de mes filles. Généralement dans ce cas là, mon mari pour dédramatiser les appelle “numéro 1” et “numéro 2”, ce qui fait rire tout le monde.

Ma dyslexie est devenue ma force.

Pendant mes études supérieures, c’est ma dyslexie qui m’a permis de devenir majore de promotion. En effet, mon cerveau est tellement habitué à buter contre un mot, qu’il est devenu le roi des périphrases et des synonymes : une aubaine pour mon style ! Il fait de même dans le quotidien, face à chaque situation, mon esprit propose plusieurs solutions pratiques. Finalement, je réfléchis vite et de façon ingénieuse. Un vrai avantage quand il faut imaginer rapidement un plan marketing ou mettre en place une nouvelle organisation.

Mon style et mon ingéniosité (en d’autre terme ma dyslexie) m’ont permis de réaliser une très belle carrière professionnelle.

Échec scolaire et harcèlement

Les premières années de primaire et de collège ont été infernales. J’étais la cible des sarcasmes de mes “petits camarades”, du coup, peu osaient sympathiser avec moi.

En même temps, j’était un candidat parfait pour le harcèlement :

– Plus grande et ronde que tout le monde

– Des coupes de cheveux improbables et pas du tout féminines

– Internet n’existait pas et les vêtements grandes tailles étaient peu accessibles : mes manches et bas de pantalon étaient souvent trop courts. Ma mère n’avait pas les moyens de m’offrir des marques

– J’étais nulle en classe

– Hyper fragile, je pleurai à volonté

Pour mon entrée au Lycée, j’ai eu la chance de déménager. Un vrai nouveau départ. J’ai décidé de changer les choses. Aidée par la sophrologie, je n’ai plus jamais laissé personne me marcher sur les pieds. J’ai découvert l’amitié sincère et… l’amour.

Après il n’y a pas eu de miracle : j’ai redoublé deux fois (la 1ère et la terminale), j’ai cru qu’ils ne me laisseraient jamais sortir du lycée !!

Du coup, je me suis retrouvée au même niveau scolaire que ma petite sœur dans un tout petit lycée privé. Nous avons partagé la même bande de copains, ce qui n’a été évident pour aucune de nous.

La meilleure place dans une fratrie

Nous pouvons échanger sur quel est le meilleur positionnement au sein d’une famille. J’étais la seconde, celle du milieu. De mon point de vue, mon aînée était toute puissante et ma petite sœur la petite merveille à cajoler.

L’été où nous avons obtenu nos BAC + 2, entourées de toute la famille de mon père, ce dernier a porté un toast pour féliciter ma petite sœur (Licence de droit alors qu’elle est elle-même dyslexique, je ne minimise pas, c’était effectivement à fêter). Elle a eu droit à du champagne, un discours et un cadeau. J’étais là, mon IUT en poche en tête de promotion, admise dans plusieurs écoles de commerce classées et j’avais gagné un concours de national de stratégie marketing… Il n’a pas eu un mot pour moi. Quand ma petite sœur lui a fait remarquer, il a bafouillé un “ah oui, mais bon toi…”.

Aucune de nous trois ne considèrent sa place comme étant la meilleure et chacune se réclame comme ayant été la moins bien lotie. Mon aînée a dû affronter seule de nombreuses épreuves (maladie de ma mère, infidélités de mon père, confidences qu’elle aurait préféré ignorer) pour nous épargner ma sœur et moi. Ma petite sœur considère qu’elle a été étouffée par nos deux personnalités.

En finir avec la cigarette

En rentrant au lycée, je n’ai rien trouvé de plus intelligent pour devenir populaire que de me mettre à fumer (alors que c’était interdit évidemment). Je faisais partie des rebelles qui se cachaient pour enfreindre les règles. A noter pour les adolescents qui me lisent : ma meilleure amie de l’époque me suivaient partout sans fumer et était tout aussi populaire. Une ânerie à ne pas reproduire donc !

Ne faisant jamais les choses à moitié, je suis devenue une grosse fumeuse. Je fumais un paquet de cigarette dans la journée et un autre en soirée… et je sortais souvent ; surtout une fois devenue étudiante et jeune active.

J’ai décidé d’arrêter de fumer au bout de 10 ans quand j’ai réalisé que je sentais mauvais… J’ai arrêté en plein pub Irlandais un vendredi soir en terminant le fameux livre “La méthode simple pour en finir avec la cigarette” d’Allen Carr. Le principe est simple : la meilleure façon de ne plus fumer est de ne pas allumer une cigarette. Heureusement je passai le week-end avec deux non fumeurs. Ce sont les 3 premiers jours les plus difficiles physiquement, après tout en dans la tête.

Non seulement, je n’ai pas pris un gramme mais cela m’a permis de faire de sacrés économies et… de rencontrer mon mari (mais là est une autre histoire).

Physique atypique (je suis très grande) et régime

Je fais 1,85 m mais ne suis ni assez jolie ni assez fine pour être mannequin !

Je suis aujourd’hui une femme plantureuse… mais que du bas : ma poitrine est quasi inexistante. La double peine ! J’envie mes amies qui sont rondes de partout.

J’ai toujours alterné prises de poids et régimes. J’ai une telle volonté que j’allais jusqu’à perdre 20 kilos… que je reprenais lentement mais surement les mois qui suivaient.

Quand j’ai rencontré Hélène Defretin, la nutritionniste qui a changé ma vie, j’allais souvent me coucher la faim au ventre. Je faisais des rebonds : je pouvais prendre 3 kilos en mangeant 3 chamallows (pas le paquet, juste 3 chamallows). Depuis que je mange copieusement, je suis parfaitement stabilisée. La solution est toute simple : il faut suffisamment manger de féculent (ou équivalent) pendant les repas pour ne pas grignoter. Nous pourrons en reparler si cela vous intéresse.

J’ai également décidé de m’accepter avec mes 10 kilos en plus. Je suis capable de les perdre mais sans une goutte d’alcool ni le moindre sucre… Ce n’est pas ma vie ! 🙂

Récemment, j’ai découvert des photos de mon arrière grand mère jeune. C’est incroyable comme je lui ressemble. Nous avons la même morphologie… sauf qu’à son époque, les femmes plantureuses étaient à la mode. Découvrir ces photos m’a fait beaucoup de bien. Ce n’est pas mon hygiène de vie à l’origine de mon profil mais la génétique. Le problème ne vient pas de moi mais du regard des autres. Nous aurons l’occasion de parler d’indépendance émotionnelle. Là est la réponse.

Cellulite et endermologie

J’ai découvert la cellulite la première fois que j’ai perdu 20 kilos. La mauvaise blague de dame nature ! Du coup, dès que j’ai eu les moyens j’ai testé l’endermologie (Cellule M6 LPG, palpés roulés motorisés ou manuels, ventouses…). Enfin, j’ai plutôt enduré l’endermologie puisque c’est douloureux et financièrement exorbitant.

Je peux témoigner que cela fonctionne, j’ai effectivement perdu des centimètres. Les instituts de beauté aiment faire des photos avant/après et je suis chaque fois parvenue à la même conclusion : c’était mieux avant ! En perdant des centimètres les irrégularités s’accentuent et forment de vrais cratères.

Dès que vous arrêtez les séances, vos cuisses prennent leur forme d’origine…. Il n’y a aucune magie. 

Mes cuisses et moi avons fait la paix. Je les préfère plus rondes aux contours irréguliers que plus fines mais crevassées. Du coup, j’ai adapté ma garde de robe et trouvé des astuces que je pourrai partager.

Acné sévère et persistante après 30 ans

Je ne le souviens plus à partir de quand j’ai commencé à avoir des boutons. Une chose est certaine, à 25 ans j’en avais encore et pas qu’un peu, malgré de nombreux traitements.

C’est une esthéticienne qui m’en a débarrassé en m’expliquant simplement comment prendre soin de mon visage.  Le mal était déjà fait : je conserve de nombreuses cicatrices. Je vais faire en sorte que l’histoire ne se renouvelle pas et donner les bonnes bases à mes filles. 

C’est un sujet qui me tient à cœur et je partagerai des trucs et astuces sur ce blog . 

Amitié entre garçons et filles

D’aussi loin que je me rappelle, j’ai eu des amis garçons, des grands frères protecteurs.

Je suis devenue qui je suis grâce à mes amis masculins qui m’ont poussé aux fesses sans ménagement et qui ont vu, avant moi, mon potentiel.

Sortir avec mon meilleur ami

Une seule fois, j’ai franchi la frontière et suis sortie avec celui qui était mon meilleur ami et confident de l’époque. Quand il est parti, le jour de mes 18 ans, j’ai perdu celui que je pensais épouser et le confident qui aurait pu m’aider à franchir cette étape difficile. Je lui en suis infiniment reconnaissante ! Ce nouveau départ m’a permis de rencontrer mes amis de aujourd’hui et de m’épanouir intellectuellement et socialement.

Smile

J’aimerai beaucoup trouver un autre témoin qui s’est marié(e) avec son/sa meilleur(e) ami(e). Nos interviews croisées pourraient être intéressantes !

Vivre en collocation

Ma première collocation fut avec ma meilleure amie.

Le fait d’être deux, nous a permis de louer un grand appartement. Nous avions évidemment chacune notre chambre donc notre intimité. Les tâches ménagères étaient assez bien réparties : l’une rangeant et l’autre nettoyant. C’est vraiment idéal d’avoir sa complice sous le même toit et cela nous a épargné de longues et coûteuses conversations téléphoniques et des trajets inutiles.

Quand j’ai vécu à Barcelone, nous étions 4 filles dans l’appartement. Là, les caractères de chacune furent plus délicat à gérer mais j’en garde pour autant un excellent souvenir.

Opter pour un sexfriend

J’ai mis longtemps à refaire confiance à un homme après le départ de “mon meilleur ami”. Je ne regardais pas les garçons stables et leur préférais ceux à problème. Je me retrouvais toujours dans des situations invraissemblables.

A la fin de ma colocation, vivant seule à Paris, j’ai rapidement compris que cela pouvait devenir dangereux. Même en mesurant 1,85 m, je restais petits bras face à un homme déterminé…

J’ai également découvert le plaisir de vivre seule, avec des amis à proximité bien sûr : décider de son quotidien sans avoir à réaliser des compromis. J’ai opté pour rester célibataire. Maintenant, je suis comme tout le monde et j’avais besoin de moments de tendresse mais pas au point de renoncer à mon autonomie.

Mon sexfriend et moi nous entendions parfaitement bien dans l’intimité mais nos quotidiens étaient incompatibles. Cœurs sensibles s’abstenir car le principe est que chacun restent libres. Evidemment, il m’a fallu prendre un peu de distance au bout de quelques mois sur le fameux concept hyper logique de “je t’aime trop, faut qu’on arrête de se voir”. Il a fini par revenir mais de façon plus espacée. Et quand je lui ai annoncé qu’il ne passerait plus car je venais de rencontrer quelqu’un, son “ah ok, je comprends, bonne continuation” m’a un peu chatouillé l’égo.

Rencontrer son mari sur Internet

Nous nous sommes rencontrés sur le site Meetic. Les rencontres sur Internet étaient moins fréquentes qu’aujourd’hui.

Je venais d’arrêter de fumer et j’avais une énergie à revendre : impossible de dormir. Lui travaillait dans la presse et souvent très tard. Nous avons tchater pendant des soirées entières.

Smile

Pour être honnête, je le faisais surtout pour m’occuper (puisque je vivais très bien le fait d’être célibataire). De son côté, il a largement rentabilisé son abonnement en rencontrant de nombreuses jeunes filles. Je peux partager une de ses astuces : pour s’en sortir, il tenait des fiches sur chacune de nous. Il y renseignait le contenu de nos conversations. Il pouvait ainsi tenir de plusieurs conversations à la fois !

Nous avons mis 3 mois à nous rencontrer physiquement. C’était vraiment une sensation étrange d’être face à cet inconnu que je connaissais très bien. Forts de nos conversations épistolaires, nous rebondissions sur nos plaisanteries et sous entendus.

La connexion intellectuelle et la complicité étaient en place avant nos aprioris sur nos physiques réciproques. Je suis convaincue que là est encore la force de notre couple. Nous savons nous dire les choses calmement et, surtout, avons appris à nous excuser.

Assister à un déni de grossesse

Alors que nous buvions un verre, ma voisine a accouché… elle n’était pas sensée être enceinte !

Une nuit incroyable ! Alors qu’elle revenait un week-end avec son chéri, nous avons décidé de boire un verre entre filles avant d’aller nous coucher.

Je ne m’explique toujours pas ce qui nous a poussé à appeler le SAMU quand elle a commencé à avoir mal au ventre. Nous n’avons pas compris pourquoi il a décidé de nous emmener la maternité la plus proche. Il a dû nous prendre pour deux demeurées. Mais comment imaginer l’impensable ! Elle était en fait enceinte et en train d’accoucher.

Nous pourrons revenir sur les détails de cette nuit si le sujet vous intéresse.

Faire un burn out

Je ne savais ce qu’était la dépression avant de me mettre à pleurer pendant 3 jours non stop.

5 mois d’incapacité de travail.

3 rechutes.

9 ans pour m’en remettre totalement.

Un formidable cadeau ! Une remise à zéro de ma vie le jour où je suis devenue maman.

La naissance de ma fille a ré-ouvert des plaies que je ne soupçonnais pas. J’ai testé plein de thérapies différentes. Nous pourrons échanger nos points vues sur ces dernières.

Smile

Aujourd’hui , je suis une femme apaisée, sereine. J’ai conscience de mes fragilités et les accepte. Je fais ce que je peux pour apprendre tous les jours mon rôle de maman. J’ai accepté le fait de ne pas être parfaite

Adopter un chien dépressif

Comme si ma vie n’avait pas déjà connu suffisamment de rebondissements, me voilà avec une chienne qui ne parvient pas à faire des besoins dans la rue.

Un élevage nous l’a confiée car elle ne parvenait pas à mettre bas sans intervention chirurgicale. Venant de la campagne profonde et se retrouvant seule en dehors de sa meute, elle a trop peur dans les rues de la banlieue parisiennes pour y faire ses besoins. Née et ayant grandie dans l’élevage sans être sollicitée, elle ne sait même pas jouer.

Antidépresseur, éducateur et comportementaliste…

Nous l’accompagnons comme nous le pouvons dans sa nouvelle vie à grand renfort de câlins.

Abandonner un emploi stable et bien payé dans un grand groupe pour lancer un blog

Sur ce sujet, je vous demanderai d’attendre un peu pour que je puisse avoir un peu de recul 🙂

Contactez-moi en remplissant le questionnaire ci-dessous ! Je vous remercie

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